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La Faculté signe un nouveau double diplôme avec l'École supérieure du bois (ESB) en France!

22 décembre 2022

La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique signe un nouveau double diplôme avec l'École supérieure du bois (ESB) en France! Les étudiantes et les étudiants de l'ESB pourront ainsi bénéficier de l’expertise des deux écoles et recevoir, en plus du diplôme d’ingénieur en Sciences et technologies du bois et des matériaux biosourcés de l’ESB, la maitrise en génie du bois et des matériaux biosourcés de l'Université Laval.

L’aspect recherche est au centre de ce double diplôme. Les étudiants travaillent sur un projet de recherche au sein de la Chaire industrielle de recherche sur la construction écoresponsable en bois (CIRCERB) . Ce projet est basé sur une problématique entreprise (construction bois, matériaux, innovation). Ils bénéficient ainsi d’un co-encadrement par un enseignant chercheur de ULAVAL et un enseignant chercheur de l’ESB.

Deux étudiants en 3e année d'ingénieur à l'ESB viendront à l’Université Laval en février 2023 pour réaliser ce double diplôme et se joindront à la Chaire industrielle de recherche sur la construction écoresponsable en bois (CIRCERB) pour effectuer leurs projets de recherche.

Le projet de recherche d’Oscar Legrais, issu de la Majeure construction bureau d’études, portera sur la qualification d’une essence feuillue à croissance rapide, le peuplier faux tremble, pour la fabrication de produits d’ingénierie (lamellé-collé). Celui de Pierre-Mathis Le Souder, issu de la Majeure innovation, portera sur l’évaluation de scénarios de fin de vie d’un bâtiment bois et le potentiel de circularité (par l’Analyse du Cycle de Vie).

L’accord bilatéral de coopération signé en 2005 entre la Faculté de foresterie, géographie et géomatique de l’Université Laval et l’ESB a permis l’accueil de 54 étudiants en semestre d’études à l’Université Laval. Ce double diplôme est une nouvelle étape de ce partenariat. En outre, Il s’inscrit dans une volonté de créer un réseau francophone engagé dans l’attractivité de la filière bois.

Pour en savoir plus sur cette entente

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Départ à la retraite de Pierre-Serge Tremblay.

22 décembre 2022

Pierre-Serge Tremblay a offert 37 années de loyaux services à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique (FFGG) : 32 ans à titre de responsable de formation pratique et cinq comme chargé d’enseignement. Pratiquement tous les ingénieurs forestiers ayant passé par la FFGG depuis 1987 ont suivi au moins un cours avec Pierre-Serge. Plusieurs, dont ceux et celles du programme en opérations forestières en auront suivi deux, trois ou même quatre en incluant le mémoire de fin d’études!

Sa passion pour l’enseignement n’a fait que croître tout au long de sa carrière. Il savait animer aussi bien de grands groupes (plus de 100 étudiants dans le cours d’introduction aux opérations forestières), que de plus petites classes dans les cours de spécialisation. De nombreuses personnes auront aussi bénéficié de son mentorat au cours de leur formation ou même après leur graduation lorsqu’elles étaient confrontées aux défis de la pratique en foresterie.  En plus de nombreux cours d’opérations forestières, il a animé et assuré le succès des stages coopératifs en opérations forestières.  Il a, en effet, supervisé plusieurs étudiantes et étudiants et a réalisé de nombreuses visites de stage aux quatre coins du Québec.

Les atouts de Pierre-Serge?  Une connaissance fine de la pratique des sciences forestières, un esprit logique doté d’un « gros bon sens » implacable, une grande sensibilité, une facilité à communiquer avec tout le monde. Il interagissait autant avec le personnel de la faculté et les étudiantes et étudiants qu’avec les équipes de travail sur le terrain du bûcheron au surintendant. Avec le temps, il a su tisser des liens de confiance avec des gens dans des entreprises qui œuvrent en opérations forestières partout au Québec. Par son écoute d’autrui, il ne se contentait pas de trouver un stage à chaque étudiant, il trouvait le bon stage pour chaque personne afin d’offrir la meilleure expérience d’apprentissage possible.    

En plus de l’enseignement, Pierre-Serge aura aussi joué un rôle significatif à la Forêt Montmorency assurant la direction des opérations forestières pendant plus d’une décennie. Nous lui devons plusieurs chemins, pentes et ponts, certains réalisés avec l’aide d’étudiantes et étudiants dans le cadre de travaux «très pratiques». 

À travers sa carrière, Pierre-Serge Tremblay aura contribué à former deux générations d’ingénieurs forestiers. Tous et toutes gardent un souvenir de cet enseignant hors de l’ordinaire.

« Comme collègue, tu m’as écouté, guidé, motivé, dépanné et soutenu un nombre incalculable de fois. J’aurai vraiment eu beaucoup de plaisir grâce à toi au cours de toutes ces années! » 

Luc Lebel, professeur

« Pierre-Serge était un leader, qui avait un grand sens de l’humour et une gentillesse profonde. J’ai pu constater en donnant de la formation continue que tu avais marqué plusieurs générations d’ingénieur(e)s forestier(ère)s et que ton nom est à jamais associé à un dicton maintenant célèbre (Il faut enlever l’eau du chemin). »

Maude Flamand-Hubert professeure

« Ta générosité, tes enseignements et ton amitié resteront dans ma mémoire. Tu es un collègue irremplaçable qui a apporté une contribution essentielle dans le parcours des ingénieur(e)s forestier(ère)s du Québec! »

Jean-Michel Beaudoin, professeur

« Pendant 20 ans, tu m’as fait confiance et tu m’as beaucoup donné de place à tes côtés et nous avons formé une bonne équipe pour l’enseignement. Tu as été un mentor pour moi comme auxiliaire d’enseignement et chargé de cours. Avec toi, on n’oublie pas que la foresterie se fait dans le bois, proche du monde et avec du bon monde! Tu m’as offert plusieurs années de formation, de conseils, de soutien et d’amitié. Merci! »

Dominic Toupin, chargé de cours

Son départ à la retraite est bien mérité, mais son énergie et sa passion nous manqueront.  Nous lui souhaitons une belle retraite et le remercions pour ses nombreuses années d’enseignement dans le Département des sciences du bois et de la forêt et nous soulignons ses contributions notables dans le domaine des opérations forestières.

  

 

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COP15 à Montréal : la rainette, une espèce en danger symbole de la fragilité de la biodiversité au Canada

19 décembre 2022

Plusieurs espèces sont menacées au Québec : le caribou forestier, le chevalier cuivré (un poisson du fleuve Saint-Laurent), et parmi les reptiles et les amphibiens, plusieurs espèces de couleuvres et de tortues, ainsi que la rainette faux-grillon. Le cas de cette minuscule grenouille est emblématique de la question de la préservation de la biodiversité au Canada.

La rainette faux-grillon est victime de la densification urbaine et du développement des banlieues et de l’agriculture. Le gouvernement du Québec vient d’ailleurs de la mettre sur la liste des espèces menacées alors qu’elle avait été déclarée « vulnérable » en 2001. Du côté canadien, elle est protégée depuis 2010.

« On a observé un déclin important des populations dans le sud du Québec» , explique Marc Mazerolle, biostaticien de l’Université Laval. Sa taille fait en moyenne 2,5 cm. [...]

« Déjà au début des années 2000, pour obtenir le statut d'espèce vulnérable, on considérait que 90% de son habitat avait été détruit. C'est là le problème, avec l'urbanisation, l'habitat de la rainette est fragmenté et une population qui s'éteint n'aura pas la chance d'être recolonisée par des juvéniles si elle est encerclée par des autoroutes ou des développements urbains », souligne de son côté le biostaticien.

Voyez le reportage complet de tv5monde dans lequel apparaît Marc Mazerolle, professeur au Département des sciences du bois et de la forêt.

Photo: Patrick.R.Bourgeois

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Plus de 600 espèces de champignons inclassables ont une origine commune, selon une étude

19 décembre 2022

Louis Bernier, professeur de mycologie et de pathologie forestière à l’Université Laval vulgarise les conclusions des chercheurs de l’Université de l’Alberta concernant une étude qui a permis de séquencer le génome d’une trentaine d’espèces de champignons inclassables, et qui en est arrivée à la conclusion que plus de 600 espèces auraient un ancêtre commun qui aurait existé il y a 300 millions d’années.

Selon M. Bernier, les chercheurs démontrent que plusieurs espèces de champignons qui, à première vue, n’ont pas grand-chose en commun, et bien du point de vue génétique sont en fait très communes, très semblables. L'hypothèse la plus simple, à ce moment-là, c’est qu’elles dérivent toutes d’un même ancêtre commun.

Cette origine commune remonte donc à une période qui précède l’apparition des dinosaures sur Terre, lorsque les terres émergées étaient rassemblées sur le mégacontinent de la Pangée.

Selon Louis Bernier, cette découverte n’aurait pas été possible sans l’accessibilité du séquençage génétique. Dans le monde de la mycologie, c'est une révolution qu'on vit depuis 10 à 15 ans. Maintenant, on peut séquencer des génomes entiers, à des prix ridiculement bas. Donc, ça permet de faire des études beaucoup plus puissantes qu'avant. [...] Ça amène un bouleversement de nos classements taxonomiques et phylogénétiques, explique-t-il.

Le professeur Bernier est confiant pour l’avenir de sa discipline : On ne sait toujours pas combien il y a d’espèces de champignons dans le monde. On pense qu’il y en aurait, dépendamment des auteurs, de 2 à 5 millions d’espèces. Jusqu’ici, il y a à peu près 150 000 espèces de champignons qui ont été décrites.

Il y a beaucoup de travail pour les futurs taxonomistes en mycologie, conclut-il.

Pour découvrir l'article présentant l'étude et en découvrir les détails, Radio-Canada

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Régulariser les migrants sans statut

19 décembre 2022

Ces derniers mois, des mobilisations pour revendiquer la régularisation des personnes sans statut au Canada se sont intensifiées. Les différents groupes et coalitions mobilisés, tels Solidarité sans frontières, le Centre des travailleurs et travailleuses immigrants, la Ligue des droits et libertés, Médecins du monde et le Réseau des droits des migrants, demandent la mise en place d’un programme de régularisation inclusif, clair et transparent à l’échelle nationale.

Ces manifestations visent à faire pression sur le ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, Sean Fraser, chargé en janvier dernier de mettre sur pied un tel programme. Ce dernier est très attendu dans un contexte où la précarité des situations de vie a éclaté au grand jour pendant la pandémie de COVID-19, une réalité créée depuis des années par la nature même et les lacunes de nos programmes d’immigration et d’accueil des personnes réfugiées. […]

Chaque mardi, Le Devoir offre un espace aux artisans d’un périodique. La chronique «Des idées en revues» du 13 décembre présente une version abrégée d’un texte paru dans la revue Relations dont l'une des quatre autrices est la professeure de géographie Adèle Garnier.

PHOTO : Relations (montage Le Devoir)

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La science en Arctique et le réchauffement climatique : une perspective canado-allemande

16 décembre 2022

Le 8 novembre 2022, Reinhard Pienitz, professeur au département de géographie, a été invité par la cheffe de mission adjointe de l’ambassade canadienne en Allemagne, Mme Isabelle Poupart, et l'ambassadeur de Norvège en Allemagne, à présenter l'Université Laval et ses différents regroupements d'expertises dans les grands secteurs de la recherche nordique et arctique, ainsi que le futur Institut Nordique du Québec. 

L’évènement s’est tenu à l'ambassade du Canada à Berlin (Allemagne). La présentation a été suivie d'un débat sur les collaborations actuelles et futures de recherche entre le Canada et l'Allemagne dans le domaine des sciences arctiques, dans le cadre de l'événement sur l'Arctique de la « Semaine Scientifique de Berlin ».

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Vers un premier pôle universitaire autochtone

12 décembre 2022

Le Conseil en Éducation des Premières Nations (CEPN) et l’Université Laval ont signé une entente, aujourd’hui, qui vise à développer un pôle universitaire autochtone, une première au Québec. Un plan d’affaires qui reflète la vision d’études universitaires durables, par et pour les Premières Nations, sera rédigé et devra être approuvé par les leaders autochtones, ainsi que par le ministère de l’Enseignement supérieur.

Également désignée Maison des savoirs, l’initiative se veut une approche holistique de l'éducation identifiée par la volonté des communautés membres du CEPN, pour assurer un continuum d'apprentissage tout au long de la vie, qui s’inspirera des valeurs, des cultures et des langues des Premiers Peuples.

Ce pôle aura une gouvernance majoritairement autochtone et se donnera notamment pour objectifs de répondre aux besoins en formation et en recherche des Premiers Peuples, de reconnaître leurs savoirs et leurs connaissances à travers les contenus de formation, ainsi que d'établir un modèle d'enseignement universitaire propre aux Premières Nations.

Le CEPN et l’Université Laval bâtiront une proposition d’université empreinte des valeurs universitaires que sont l’enseignement, la recherche et les services aux collectivités. L’objectif stratégique du CEPN est d’augmenter la réussite éducative des étudiantes et étudiants et, conséquemment, d’aider les communautés à faire face aux différents enjeux socioéconomiques.

Nous continuons de répondre collectivement à la mise en œuvre des appels en action de la Commission de vérité et réconciliation (CVR), particulièrement ceux qui visent l’accès aux études supérieures et la mise en place d’un système d’éducation par, pour et avec les Premiers Peuples. Le pôle universitaire, soutenu par l’Université Laval dans chaque étape du processus, sera responsable de tous les aspects de l’éducation pour faire en sorte que les langues, les cultures, les visions du monde et les savoirs des peuples autochtones soient respectés.

« Le ministère de l’Enseignement supérieur est très fier d’accompagner et de soutenir les Premières Nations et les Inuit dans la mise sur pied d’un pôle universitaire autochtone. Je suis absolument convaincue que le pôle connaîtra un franc succès et qu’il permettra aux communautés autochtones de faire un pas de plus vers leur autonomisation économique, sociale et culturelle. Je remercie nos partenaires de l’Université Laval pour leur contribution essentielle à la concrétisation de cet important projet », affirme Pascale Déry, ministre de l’Enseignement supérieur.

« Avec l’appui des communautés membres, l’équipe du CEPN est engagée à poursuivre sa mission de continuer à la pleine prise en charge de l’éducation par les Premières Nations. Nous sommes confiants que ce plan d’affaires, qui sera développé conjointement avec l’Université Laval et le réseau universitaire, répondra aux besoins réels de formation des communautés tout en mobilisant et en optimisant le plein potentiel des gens des Premières Nations », déclare Denis Gros-Louis, directeur général du Conseil en éducation des Premières Nations.

« Notre équipe est réellement mobilisée et enthousiaste à l’idée d’appuyer le Conseil en éducation des Premières Nations dans une série d’actions qui ont pour objectif de favoriser l’autodétermination des Premiers Peuples, mentionne Cathia Bergeron, vice-rectrice aux études et aux affaires étudiantes, responsable de la santé, de l’Université Laval. Collaborer à l’accès aux études postsecondaires des personnes autochtones est un aspect fondamental, en parfaite cohésion avec nos valeurs. »

À propos du CEPN

Le CEPN est l’association de 22 Premières Nations du Québec qui œuvre depuis plus de 35 ans à la réalisation du droit des Premières Nations d’exercer leur pleine compétence en matière d’éducation grâce à la mise en place d’un système d’éducation complet, doté de ressources adéquates, conçu et géré selon leurs valeurs et leurs cultures. Pour en savoir plus, rendez-vous sur son site Web au www.cepn-fnec.com.

À propos de l’Université Laval

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Sources :

Conseil en éducation des Premières Nations

Francis Verreault-Paul

Directeur des Services de communication et de relations gouvernementales

418-842-7672 #3001

fverreault@cepn-fnec.com

 

Équipe des affaires publiques 

Université Laval 

418 656-3355 

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Des dunes de sable sur le fond du fleuve

09 décembre 2022

En juillet 2022, une équipe de chercheurs a effectué pendant quatre jours des levés hydrographiques de la surface du fond du fleuve Saint-Laurent dans la zone longeant la ville de Québec. Au cœur de l’été dernier, une expérience scientifique inusitée s’est déroulée pendant quatre jours sur le fleuve Saint-Laurent à la hauteur de Québec, plus précisément dans l’estuaire de la rivière Saint-Charles et le long du Quai de la reine, ainsi que près de l’île d’Orléans et près de Lévis, sur la rive sud. À bord du bateau de recherche Louis-Edmond-Hamelin, propriété du Centre d’études nordiques de l’Université Laval, le conseiller en pédagogie universitaire Willian Ney Cassol et l’étudiant à la maîtrise Juzer Noman, tous deux rattachés au Département des sciences géomatiques, ont récolté de nombreuses données sur la surface du fond du fleuve à l’aide d’instruments spécialisés. Le personnel à bord comprenait également le capitaine de l’embarcation, Benoit Cotton, de l’organisme de gestion de navires et équipements scientifiques REFORMAR, ainsi qu’une hydrographe, Natalie Pisciotto, du Centre interdisciplinaire de développement en cartographie des océans.

À terre, la coordonnatrice du projet était la professeure Sylvie Daniel, également du Département des sciences géomatiques. «Ces levés hydrographiques, explique-t-elle, s’inscrivent dans le projet de recherche Osirisk auquel participent une demi-douzaine de partenaires. Osirisk vise à modéliser les risques d’inondation, notamment à Québec, dans le but de les prévenir le plus rapidement possible. Les levés effectués ont permis d’obtenir une modélisation 3D du fond du fleuve à certains endroits.»

Lisez l'article complet sur ULaval nouvelles

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Najat Bhiry reçoit le Prix d’excellence en enseignement, catégorie Encadrement aux cycles supérieurs

07 décembre 2022

Ce prix reconnait l’engagement et la qualité de la supervision d’une ou d’un membre du corps professoral dans le processus d’apprentissage et de recherche des étudiantes et des étudiants aux cycles supérieurs. Najat Bhiry est professeure titulaire à la Faculté de foresterie, de géographie et géomatique depuis 1998. Elle y a notamment assuré la direction des programmes gradués du Département de géographie de 2004 à 2010. Elle a aussi dirigé le Centre d'études nordiques de 2012 à 2018. Pour madame Bhiry, la formation en recherche se situe au cœur de sa fonction de professeure-chercheuse.

Au cours de sa carrière, Mme Bhiry a encadré avec brio un très grand nombre de personnes étudiantes aux cycles supérieurs en géosciences. Les commentaires recueillis témoignent d’un encadrement constant, personnalisé, à la fois rigoureux et bienveillant, et ce, dès l’amorce du projet de recherche jusqu’à l’insertion professionnelle. La qualité de l’encadrement offert par madame Bhiry se traduit par une retombée concrète remarquable: depuis 2008, aucune personne étudiante sous sa direction n’a abandonné ses études aux cycles supérieurs.

Madame Bhiry propose à ses étudiantes et étudiants un milieu d’apprentissage riche et favorable aux découvertes scientifiques. Elle les intègre aux différents programmes internationaux de recherche auxquels elle collabore activement. Par ailleurs, madame Bhiry insiste sur l’importance de l’interdisciplinarité pour enrichir la formation des personnes étudiantes. Cette approche génère, entre autres, des occasions d’apprentissage et de réseautage nombreuses et diversifiées, notamment avec des spécialistes de divers horizons, les communautés autochtones du Nord et les organismes partenaires (Administration régionale Kativik, Société Makvik, Institut culturel Avataq, ministère des Transports, etc.). À cet égard, le leadership de madame Bhiry dans le cadre de ses recherches interdisciplinaires en géoarchéologie est un exemple inspirant.

Madame Bhiry offre un encadrement stimulant où la collaboration est une priorité pour favoriser l'entraide et les échanges fructueux. L’une des stratégies pour soutenir l’engagement et la persévérance de ses étudiantes et étudiants est d’organiser des rencontres de groupe pour discuter de leurs recherches respectives. D’ailleurs, les principes d’équité, de diversité et d’inclusion sont des valeurs essentielles mises de l’avant par madame Bhiry parmi l’ensemble des activités d’encadrement et de collaboration.

En somme, l’encadrement exceptionnel offert par madame Bhiry à ses étudiantes et étudiants témoigne d’une professeure passionnée et dévouée, qui a à cœur d’offrir une formation à la recherche de grande qualité, un tremplin pour leur carrière.

Pour visionnez la vidéo et voir les détails

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Série de conférences les «5 à 7 Jasette»

05 décembre 2022

Le mardi 15 novembre 2022, sous le thème «Image de la foresterie», près de 50 étudiantes et étudiants se sont réunis à la cafétéria du pavillon Abitibi-Price, pour discuter avec des professionnels du monde forestier et des experts en communication et marketing. Étaient présents pour l’occasion : Messieurs Charles Tardif, Maibec, Fabien Simard, AETSQ, François-Hugues Bernier, OIFQ, Guy Lavoie, anciennement du journal Le Monde forestier, Jean-Luc Bernier, Université Laval

L’objectif des 5 à 7 Jasette est d’échanger autour des enjeux qui touchent la foresterie et de partager différents points de vue pour permettre d’avoir une compréhension plus globale des thèmes abordés. 
 

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Encore une belle édition du Sous-Boilympique avec 1766 heures d'activités physiques!

05 décembre 2022

Le Sous-Boilympique, édition automne 2022, organisé par l’Association des étudiantes et des étudiants en foresterie et environnement de l’Université Laval s’est déroulé du 13 au 25 novembre 2022. Le but de cette activité est de motiver les gens à bouger et d’encourager l’activité physique dans un contexte amical. Les membres de la communauté étudiante et le personnel de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique étaient invités à former des équipes, puis à pratiquer des activités sportives dont ils compilaient la durée grâce à un formulaire en ligne. Chaque période de 15 minutes équivalait à un point. Les trois équipes ayant accumulé le plus de points étaient déclarées gagnantes. D’autres activités comme des énigmes, un tournoi de volley-ball, un géocaching et une soirée de clôture complétaient cette compétition amicale appréciée de plusieurs!

Pour cette édition, 16 équipes ont été formées et chacune portaient un nom de plantes pour un total de 141 participantes et participants. En tout c’est près de 1766 heures d’activités physiques qui ont été réalisées. Les plus populaires ont été l’entraînement notamment en salle, la marche et la randonnée et les sports de ballon comme le volley-ball, basketball, soccer, etc. Le vélo était aussi assez populaire malgré la période plutôt froide. Plusieurs des membres de la Faculté utilisent d’ailleurs le vélo pour venir à l’Université Laval.

Bravo au comité organisateur notamment à Anne-Sophie Goyette, étudiante au baccalauréat intégré en environnements naturels et aménagés et son équipe pour le temps investi dans la réalisation de cette belle activité rassembleuse. La prochaine édition devrait avoir lieu à l’hiver 2023! C’est un rendez-vous! 

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Quel âge a cette église ?

05 décembre 2022

Datation de l'église de Notre-Dame-des-Anges à Québec.
Les recherches auxquelles ont participé deux experts de la dendrochronologie au Département de géographie, Martin Simard et Ann Delwaide, tendent à confirmer que des éléments de sa structure de bois datent de 1620, ce qui en ferait la plus vieille église du Canada.

Découvrez les résultats de leurs analyses dans le reportage «Quel âge a cette église ?» (18:27) diffusé le 20 novembre 2022 à l'émission Découvertes sur Ici Radio-Canada.

PHOTO Gilbert Bochenek

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Parcs, réserves, géoparcs, etc. : la labellisation, qu’est-ce que ça change?

01 décembre 2022

Comme plusieurs lieux du Québec, la municipalité d’Anticosti tente d’obtenir le label « patrimoine mondial de l’UNESCO ». Beaucoup d’efforts sont consentis dans ces projets, mais quels sont vraiment les impacts de telles labellisations sur ces territoires? 

Pascale Marcotte, professeure titulaire et directrice du certificat en tourisme durable au département de géographie à l’Université Laval, est une spécialiste de la question. Elle était d’ailleurs l’une des intervenantes du séminaire Désignations de territoire de l’UNESCO qui se déroulait, le 24 novembre dernier, au Fairmont Le Manoir Richelieu, à La Malbaie. Elle a répondu aux questions de la journaliste Émélie Bernier..

Pour en savoir plus sur la labellisation, ses exigences et ses conséquences, consultez l'article complet du journal Le Charlevoisien.

PHOTO Dominique Blanc-Tardif (CC BY-NC-ND 2.0)