Actualités
Quatre étudiants de la Faculté se méritent une bourse de leadership et développement durable de l'Université Laval
17 décembre 2015
Quatre étudiants de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique se sont mérités une bourse de leadership et développement durable de l'Université Laval 2015-2016. Grâce à ce programme de bourses, l'Université Laval désire soutenir pendant leurs études universitaires les étudiants talentueux démontrant des réalisations exceptionnelles dans l'un des six secteurs d’activité suivants: artistique, entrepreneurial, environnemental, scientifique, social/humanitaire ou sportif. Ce programme de bourses s'adresse aux étudiants qui dépose une nouvelle demande d'admission dans un programme régulier (baccalauréat, maîtrise ou doctorat) de l'Université Laval.
Claudie-Maude Canuel, baccalauréat en aménagement et environnement forestiers, leadership sportif
Cette joueuse de volleyball ne compte plus les distinctions et les bourses obtenues dans la pratique de son sport et pour l’excellence de ses résultats scolaires. Lauréate du Mérite académique du RSEQ – volleyball division 1 et du trophée Études chez les Volontaires pendant trois années consécutives, de 2013 à 2015, Claudie-Maude Canuel a également obtenu la bourse Sport-Études par établissement – Étudiante-athlète par excellence 2013 et la Bourse pour athlète de haut niveau – MELS 2012. Elle a été recrutée à deux reprises, en 2008 et 2011, pour faire partie de l’équipe du Québec aux Jeux de la francophonie canadienne. Lors de sa seconde participation, elle a été élue capitaine de l’équipe et nommée porte-drapeau de la délégation du Québec. Impliquée auprès des jeunes en tant qu’animatrice en mini-volley et arbitre, elle a également participé à un projet pilote du programme Excellence sportive Sherbrooke pour mesurer les bienfaits de la pratique du Pilates chez les athlètes.
Donateur : Syndicat des professeurs et professeures de l’Université Laval
Anne Cotton-Gagnon, maîtrise en sciences géographiques, leadership scientifique
C’est la curiosité qui a d’abord orienté Anne Cotton-Gagnon vers la recherche. Puis, sa minutie, sa détermination et sa débrouillardise lui ont permis de se démarquer dans ce domaine. Elle a mené différents travaux de recherche à la Forêt Montmorency de l’Université Laval, dont certains ont fait l’objet d’un documentaire télévisé. Auxiliaire de recherche pour le Consortium iFor, elle s’est intéressée à la biodiversité entomologique du territoire en plus d’effectuer des recherches sur la végétation de la Petite Île au Marteau, dans l’Archipel-de-Mingan. Ce projet, qui a été présenté lors de la Journée de la recherche en biologie, a permis une meilleure compréhension de la dynamique des écosystèmes de cet archipel, ce qui bonifie maintenant la gestion de ceux-ci par Parcs Canada. En 2014, elle a reçu la bourse EnviroNord du programme de formation FONCER du CRSNG, soulignant sa rigueur scientifique et ses aptitudes en recherche.
Donateur : Fondation J.A. DeSève
Benido Claude Davy Belem, maîtrise en agroforesterie avec mémoire, leadership environnemental
Véritable passionné, Benido Claude Davy Belem s’implique depuis plusieurs années dans son pays, le Burkina Faso. Il est membre fondateur de l’association nationale JEUN’AGRO, qui regroupe des étudiants en agriculture de différents établissements d’enseignement et de recherche. Ensemble, ils mènent des activités de sensibilisation et de démonstration sur les saines pratiques agricoles pour les paysans locaux. En 2010, il a obtenu le premier prix d’un concours en écocitoyenneté et développement durable, organisé par la direction régionale du ministère de l’Environnement et du Développement Durable du Burkina Faso, qui réunissait plusieurs candidats issus de tous les établissements secondaires de la région administrative et territoriale du Centre-Sud. Il a également été président de l’Association des tableaux d’honneur, qui reconnaît l’excellence scolaire des jeunes et encourage la protection de l’environnement. Chaque année, cette association organise un événement, « Le bosquet des étoiles », lors duquel une centaine d’arbres sont plantés.
Donateur : R. Howard Webster Foundation
Sunny Lefebvre, maîtrise en biogéosciences de l'environnement
Ayant à cœur l’avenir de la jeunesse, Sunny Lefebvre ne compte plus les heures lorsqu’il s’implique dans le Mouvement des cadets du Canada. Cette organisation, qui permet à nombre de jeunes de développer des qualités de leader, il la connaît bien puisqu’il y travaille depuis le début de son adolescence. Au printemps 2011, il a décidé de s’enrôler au sein des Forces armées canadiennes afin de poursuivre son implication sur une base plus régulière. De l’instruction des nouveaux cadets à l’évaluation des activités d’apprentissage, en passant par la gestion de l’horaire des cours et l’entraînement de l’équipe de biathlon, sa collaboration prend plusieurs formes. Ses qualités de meneur lui sont alors fort utiles. Sunny Lefebvre est reconnu par ses collègues comme étant quelqu’un d’engagé, ayant de l’ouverture et une grande capacité d’écoute.
Donateur : Fondation J.A. DeSève
Répartition des montants des bourses
- 1er cycle : 2 000 $ par an (maximum de 3 ou 4 ans, selon la durée du baccalauréat).
- 2e cycle : 5 000 $ par an (maximum de 2 ans).
- 3e cycle : 10 000 $ par an (maximum de 3 ans).
Ces bourses sont renouvelables annuellement pour la durée officielle du programme d'études à la condition de faire la preuve du maintien du leadership et de la poursuite des études à temps complet dans le programme pour lequel la bourse est octroyée. De plus, ces bourses sont cumulables en regard de tout autre programme de bourses.
En savoir plus sur les bourses de leadership et développement durable.
Une entente avantageuse
03 décembre 2015
Cette entente portant sur une accessibilité accrue aux données géospatiales gouvernementales soutiendra et stimulera l'enseignement et la recherche appliquée sur le territoire québécois.
Le 18 novembre dernier, le Gouvernement du Québec et les universités québécoises, sous la coordination du Bureau de coopération interuniversitaire, ont annoncé une importante entente portant sur une accessibilité accrue aux données géospatiales gouvernementales.
D'une durée de deux ans, cette entente, réunissant 18 établissements universitaires, a pour but de soutenir et de stimuler l'enseignement et la recherche appliquée sur le territoire québécois ainsi que de développer l'expertise québécoise en la matière.
Selon le ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles (MERN), Pierre Arcand, c'est une «belle occasion de mettre en valeur le patrimoine informationnel gouvernemental au profit des futurs professionnels et acteurs de la géomatique, de la gestion du territoire et des domaines connexes.» Plus d'une trentaine de jeux de données géospatiales produites par le MERN et d'autres ministères seront disponibles.
Tiré du journal de la communauté universitaire, Le fil du 3 décembre 2015.
Ménager le caribou et la forêt
03 décembre 2015
Des chercheurs ont mis au point un outil qui jette un pont entre la conservation de cette espèce vulnérable et l'exploitation forestière.
Le caribou forestier aime les forêts matures de conifères où il trouve nourriture et refuge contre les prédateurs. L'industrie forestière convoite elle aussi ces peuplements, qui lui fournissent la matière ligneuse essentielle à ses activités. En théorie, le territoire que l'on accorde à l'un prive l'autre d'autant. Pour compliquer les choses, ce conflit qui, en apparence, oppose conservation et exploitation, cache un troisième joueur, trop souvent ignoré, qui réclame lui aussi sa part du gâteau: les perturbations naturelles. Des chercheurs du Centre d'étude de la forêt et du Service canadien des forêts (SCF) présentent, dans un récent numéro du Journal of Environmental Management, un outil qui tient compte des trois composantes de l'équation et qui permet aux aménagistes de jeter un pont entre la conservation du caribou et l'exploitation forestière.
Pour créer cet outil, Julien Beguin, doctorant à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique au moment de l'étude et maintenant biologiste au SCF, Frédéric Raulier, du Département des sciences du bois et de la forêt, et Eliot McIntire, du SCF, se sont penchés sur une zone de la Côte-Nord partagée entre l'exploitation forestière et la conservation du caribou forestier. Cette espèce abondante dans le sud du Québec jusqu'à l'arrivée des colons européens a fortement décliné depuis. Sa limite méridionale s'est progressivement déplacée vers le nord et elle se situe maintenant à une latitude correspondant au nord du fjord du Saguenay. Le caribou forestier a le statut d'espèce vulnérable et il fait l'objet d'un plan de rétablissement qui proscrit la coupe forestière dans les forêts vouées à sa conservation.
L'outil conçu par les trois chercheurs permet de réaliser des simulations dynamiques qui évaluent l'effet des aires protégées, des risques de feu et de la récolte des arbres morts sur l'approvisionnement en bois pour l'industrie forestière et sur la population de caribou. «L'une de nos conclusions est que le fait de négliger le risque de feu conduit à une surestimation des volumes du bois pouvant être récoltés, ce qui, ultimement, menace l'approvisionnement durable en bois et le maintien du caribou, souligne Julien Beguin. Par ailleurs, la récolte des arbres morts diminue l'empreinte globale des coupes et du feu. Elle pourrait donc, à grande échelle, avoir un effet positif sur le caribou, ce que les études faites à une échelle locale n'avaient pas mis en évidence. Il ne faut pas voir ce résultat comme une recommandation, mais plutôt comme une indication qu'il y a lieu d'explorer davantage cette composante de l'équation.»
Selon le chercheur, il y a au Québec des experts chevronnés en perturbations naturelles des écosystèmes forestiers ainsi que des sommités en dynamique de population des caribous. «On a besoin d'un grand projet fédérateur capable de réunir ces expertises pour proposer de nouvelles solutions et sortir du débat stérile opposant conservation du caribou et exploitation forestière. Il y a des projets ponctuels, qui tentent de faire le pont, mais il n'existe pas de programme intégrateur à grande échelle. Ce type de projet multidisciplinaire n'est pas simple d'un point de vue logistique et organisationnel, mais il y a de l'espoir. On voit émerger des initiatives qui vont dans ce sens, il faut les encourager et leur donner les moyens de leurs ambitions», conclut-il.
Le caribou forestier aime les forêts matures de conifères où il trouve nourriture et refuge contre les prédateurs. Au Québec, ce cervidé a le statut d'espèce vulnérable et il fait l'objet d'un plan de rétablissement.
Texte de Jean Hamann, lefil, Volume 51, numéro 133, décembre 2015
Photo: Association Peuple Loup (licence CC)
Deux étudiants de la Faculté remportent un prix au concours photo du Bureau international.
26 novembre 2015
Un étudiant au baccalauréat en géographie et un autre au doctorat en sciences forestières de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique se sont mérités un prix pour leur photo soumise au concours photo et vidéo À travers votre lentille. L’exposition des finalistes a eu lieu du 17 au 19 novembre dans le cadre de la Semaine de l’éducation internationale. Les finalistes de cette exposition ont présenté leur expérience d’un séjour d’études ou de stage à l’étranger en image.
Jean-Romain Roussel, étudiant au doctorat en sciences forestières s'est mérité le prix Coup de cœur du public. Jean-Bernard Giroux au Baccalauréat en géographie s’est méritée la première place de la catégorie Paysage étudiant.
Crépuscule d'hiver
Par Jean-Romain Roussel
Doctorat en sciences forestières, Étudiant régulier, France
Si on m'avait demandé comment j'imaginais les paysages du Québec avant que j'y vienne, l'image que j'en aurais eue est exactement celle-ci. Au retour d'une ballade au parc Jacques Cartier, une maison attire mon attention. Au bord d'un lac, elle est illuminée par le coucher du soleil. Le ciel, flamboyant se reflète à la surface de l'eau. Le cadre est magnifique. Accompagné de deux étudiantes, je m'arrête, immortalisant ce paysage aux couleurs hivernales. Au pied de la maison, les premières neiges indiquent le début de l'hiver. Bientôt, ce paysage sera recouvert de son manteau blanc. À contrecœur, il nous faut repartir de cet endroit idyllique.
1 et demi
Par Jean-Bernard Giroux
Baccalauréat en géographie, Profil international, Roumanie
Hiver 2015
Si j’essayais de vous dresser un portrait de la vie dans un 1 1/2, je dirais que la route pour trouver un équilibre en vivant avec deux autres personnes dans un aussi petit espace, c’est un casse-tête qui a été toute qu’une randonnée. Trois pour un 1 1/2, c’est une aubaine avec laquelle on a expérimenté une richesse de la musique, c’est-à-dire de pouvoir orchestrer un certain chaos. En ce matin de février, Josuah joue une mélodie, un langage commun pour deux étudiants québécois et Meylis Gylyshayew, un avocat en devenir du Turkménistan. Un tableau harmonieux pour un si petit espace. (Roumanie)
Vous retrouverez l’album photo complet des finalistes la page Facebook du Bureau international de l'Université Laval.
L'Université Laval: première université québécoise carboneutre!
24 novembre 2015
Chef de file en développement durable, l'Université Laval devient la toute première université québécoise carboneutre. Elle est la première au Canada à présenter, sans y être obligée par une loi, un bilan nul de ses émissions de gaz à effet de serre (GES). Engagée en développement durable depuis ses débuts, l’Université Laval a fait de la lutte aux changements climatiques un projet mobilisateur où la formation, la recherche et l’expertise des membres de la communauté permettent de contribuer au développement et au mieux-être de la société et d’être un modèle inspirant pour les générations actuelles et futures. Par ses gestes et sa rigueur, l’Université devient un campus carboneutre.
Les aménagements de la Forêt Montmorency permettent, entre autres, d’absorber 13 945 tonnes de CO2 équivalent par année. Afin de compenser ses émissions des catégories 1 et 2 qu’elle ne peut éviter, l’Université peut compter sur ce puits de carbone en plus de plusieurs autres actions.
- Consulter la fiche technique (PDF) résumant comment l'Université Laval atteint la carboneutralité. (English version)
En savoir plus sur la carboneutralité de l'Université Laval.
Article paru dans La Presse: L'Université Laval premier campus carboneutre au Québec
Selon Lonely Planet : La Forêt Montmorency un site touristique à découvrir en 2016
23 novembre 2015
Selon Lonely Planet, entreprise d'origine australienne connue en tant que maison d'édition, la Ville de Québec fait partie des 10 destinations touristiques à découvrir en 2016. Parmi les éléments de la région de Québec à visiter, Lonely Planet propose à ses lecteurs de découvrir la Forêt Montmorency. Cette annonce est fort prestigieuse et nous devons féliciter l'équipe de la Forêt Montmorency qui a travaillé très fort pour développer des produits et des expériences touristiques. La Forêt Montmorency devient peu à peu un des acteurs touristiques de la région de Québec. Sa présence permet de contribuer à l’attractivité de la région de Québec.
Photographie : Forêt Montmorency
Mme Gisèle Lamoureux, diplômée de la Faculté, lauréate 2015 du Prix du Québec Georges-Émile Lapalme
18 novembre 2015
Mme Gisèle Lamoureux, écologiste réputée, diplômée à la maîtrise de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l'Université Laval et récipiendaire d’un doctorat d’honneur de cette même faculté en 1998, est la lauréate 2015 du Prix du Québec Georges-Émile Lapalme. Mme Lamoureux a reçu son prix à l’Assemblée nationale le 18 novembre 2015. Les Prix du Québec sont la plus haute distinction décernée annuellement par le gouvernement du Québec en culture et en science. C'est un hommage aux personnes qui se sont distinguées par une carrière remarquable dans leur domaine d'activité culturel ou scientifique.
"C’est parfois dans les parcours atypiques que se dévoilent les passions. Et c’est sur la frontière mouvante entre la science et la culture que se révèle celle de Gisèle Lamoureux, figure incontournable de la botanique. Avec constance, avec intelligence et avec l’énergie que dicte une volonté déterminée, Gisèle Lamoureux met au point une imposante nomenclature et une description encyclopédique des plantes sauvages d’ici dans un français accessible, de qualité et teinté de poésie. Des centaines de plantes font ainsi leur entrée dans le monde officiel. Un travail de fond à l’origine d’une quinzaine de publications, dont les réputés guides Fleurbec devenus succès de librairie et compagnons fidèles des amateurs de la flore locale. [...] Sa rencontre avec le réputé professeur Miroslav Grandtner amène Gisèle Lamoureux à l’Université Laval où elle poursuit une maîtrise en écologie végétale. Tout au long de ses 40 ans de carrière, elle maintient des liens avec cette institution qui lui ouvre ses bibliothèques et ses collections de l’Herbier Louis-Marie, en plus de lui permettre des contacts profitables avec des experts devenus ses conseillers." Description complète de la lauréate, Mme Gisèle Lamoureux
Félicitations à Mme Gisèle Lamoureux, diplômée de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l'Université Laval!
De jeunes leaders québécois de la Faculté ont participé au 3e Forum franco-québécois bois & forêt à Paris
12 novembre 2015
Le volet Jeunes leaders francophones du Forum qui se déroulait du 2 au 5 novembre à Paris visait la participation de jeunes leaders de la France et du Québec actifs dans la filière bois-forêt-écoconstruction. Au-delà des conférences et des ateliers présentés, les participants ont eu l’occasion de faire connaître leur expertise et de prendre part à de nombreuses activités de réseautage dans une ambiance propice aux échanges. Les ateliers et conférences auxquels ils ont assisté ont été donnés par des experts de la France, du Québec et d’ailleurs en francophonie.
Enfin, les jeunes leaders québécois ont été appelés à contribuer à l’élaboration de quinze recommandations liées aux solutions climat que peuvent représenter la filière bois-forêt-écoconstruction.
Le ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs, M. Laurent Lessard a rencontré les participants québécois au Forum bois et forêt dont certains provenaient de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l'Université Laval.
L'un d'entre eux, Richard Gagnon, est auxiliaire de recherche au Centre de recherche sur les matériaux renouvelables et étudiant au doctorat en sciences du bois à l'Université Laval. Ingénieur junior et détenteur d’une M.Sc. en environnement et développement durable. Son essai de maîtrise portait sur l’analyse des politiques gouvernementales en place dans le domaine du bâtiment. Il a participé à la mise en œuvre d’une maison certifiée LEED platine en plus de réaliser des analyses du cycle de vie sur des bâtiments en bois écoénergétiques. Présentement, sa thèse de doctorat porte sur l’optimisation multi-objectifs de bâtiments en bois : vers le net zéro en énergie et en carbone. S’inscrivant dans le mouvement de la simplicité volontaire, il est convaincu que la lutte contre les changements climatiques doit passer par des actions citoyennes, collectives et politiques.
Richard a été conférencier lors de l’Atelier 8 « Le retour du bois dans la ville : Construction et architecture durable ».
Source: LOIJQ
Semaine de l'éducation internationale du 17 au 19 novembre
10 novembre 2015
Participez aux activités de la Semaine de l'éducation internationale (SEI)! Posez toutes vos questions sur les possibilités d’études à l’étranger, participez à des conférences gratuites, discutez avec des étudiants internationaux, admirez une exposition de photos et de vidéos et bien plus. Toute l’information www.ulaval.ca/sei. Pour les études à l’étranger dans votre programme, consultez aussi votre Espace étudiant.
La création de la réserve naturelle à Saint-Augustin voit le jour grâce à un projet d'études en foresterie
08 octobre 2015
L'Université, qui est propriétaire de la Station agronomique de Saint-Augustin (SASA), a fait classer, au cours de la dernière année, une partie du site en réserve naturelle. Cette appellation désigne un milieu naturel privé que le gouvernement du Québec reconnaît légalement comme aire protégée, conformément à la Loi sur la conservation du patrimoine naturel, afin d'en assurer la conservation. Le secteur protégé, qui couvre 13,66 hectares de boisés, est consacré à l'enseignement et à la recherche.
Fait particulier, c'est à une étudiante du baccalauréat en aménagement et environnement forestiers, Amélie Denoncourt, que l'on doit la création de la réserve naturelle. Encadrée par Louis Bélanger, professeur au Département des sciences du bois et de la forêt, elle a produit un rapport de 90 pages qui met en lumière l'importance de protéger ces terres. Ce document répertorie plusieurs espèces floristiques et fauniques menacées ou susceptibles de l'être. C'est le cas, entre autres, de la chauve-souris argentée, du faucon pèlerin et du hibou des marais. Du côté de la végétation, on retrouve la cicutaire de Victorin, l'arisème dragon et le noyer cendré. «Il y a, dans ces boisés, une quarantaine d'espèces vulnérables, sans compter le bassin versant d'une petite rivière qui représente un autre enjeu de conservation. Des écosystèmes avec une telle biodiversité se font de plus en plus rares. C'est pourquoi j'ai proposé de protéger ce secteur», explique l'étudiante, qui a passé au peigne fin la législation en matière de préservation.
Lire l'article complet dans Le Fil, journal de la communauté universitaire
crédit photo: Martine Lapointe
Nouvelle parution de l'Arbritibi, journal des étudiants en foresterie, géographie et environnement
06 octobre 2015
La première parution de l'année 2015-2016 est maintenant disponible. Vous pouvez consulter la version en ligne . En ce qui concerne la parution du mois actuel, nous osons espérer que vous y trouverez de quoi vous informer, vous divertir, vous détendre. Certains furent inspirés par leurs virées à travers le Québec. ou l'Inde. Clara quant à elle s'est penchée sur un enjeu social forestier qui a piqué sa curiosité : le conflit concernant la certification FSC au Lac-Saint-Jean. Maxime Fiset vous invite à réfléchir sur l'urbanisation et Viengxay sur la vie. N'oublions pas Élise qui nous écrit en direct de l'Université de la Colombie Britanique pour nous partager son expérience!
Finalement, nous sommes toujours à la recherche d'étudiants intéressés à s'impliquer dans le comité qui compte actuellement 4 personnes. Nous sommes à la recherche de photographes, de bédéistes, de rédacteurs, de correcteurs, etc. Intéressé(e)? Viens nous voir!
Le comité de L'Arbritibi, votre journal étudiant
Pour tout commentaire ou nous proposer un article, n'hésitez pas à nous contacter par courriel (larabitibi@ffgg.ulaval.ca) ou via notre page Facebook (www.facebook.com/larbribi) !
Retrouvez également les versions électroniques du journal sur notre site internet. larbritibi@ffgg.ulaval.ca
Des professeurs de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique se démarquent!
02 octobre 2015
Trois professeurs de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique ont obtenu différentes reconnaissances pour leurs accomplissements. Par leurs travaux, leur contribution et leur passion, ils ont chacun à leur façon fait rayonner nos secteurs.
M. Michel Beaudoin, professeur retraité du Département des sciences du bois et de la forêt nommé Professeur émérite de l’Université Laval, le jeudi 24 septembre 2015
Si l'Université offre le seul programme de baccalauréat coopératif en génie du bois au Québec, c'est grâce à lui. Pendant plus de trente ans, M. Michel Beaudoin a développé, puis dirigé ce programme. Sa passion pour le secteur forestier a aussi donné naissance à un important partenariat de recherche avec Forintek (maintenant FPInnovations). Comme si ce n'était pas assez, il a occupé différentes fonctions de gestion au sein de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique.
M. Éric Bauce, vice-recteur exécutif et au développement ainsi que professeur au Département des sciences du bois et de la forêt nommé Ingénieur forestier de l’année par l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec, le jeudi 24 septembre 2015
Le titre d’Ingénieur forestier de l’année est décerné à un membre de l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec pour souligner sa contribution exceptionnelle au développement et à la promotion de la profession d’ingénieur forestier. Le ou la récipiendaire a accompli un acte méritoire remarquable dans les sphères d’activités de la profession au cours des 24 derniers mois. Cette année, l’Ordre a choisi de décerner le titre d’Ingénieur forestier de l’année à M. Éric Bauce, ing.f., Ph.D.
En novembre dernier, un groupe de chercheurs, incluant M. Bauce, a publié une découverte majeure pour la protection des forêts, soit la découverte d’un gène de résistance à la tordeuse des bourgeons de l’épinette dans le génome de l’épinette blanche. Cette découverte signifie qu’on pourrait créer des peuplements d’épinettes blanches présentant une moins grande vulnérabilité à la tordeuse. En mars dernier, M Bauce a reçu un doctorat honorifique en sciences et technologie de l’Université de Bordeaux afin de souligner sa contribution exceptionnelle à l’entomologie et son implication dans les campus durables. Le laboratoire d’entomologie de l’Université Laval dirigé par M. Bauce est le plus important centre de recherche sur l’alimentation des insectes en Amérique du Nord. M. Bauce a également un dossier de publications fort imposant : il est auteur ou coauteur de plus de 300 articles, dont près de 150 dans des journaux scientifiques avec comité de lecture.
Malgré son emploi du temps très chargé en tant que vice-recteur exécutif et au développement de l’Université Laval, M. Bauce a maintenu ses activités d’enseignement et de recherche. Il continue donc de contribuer à la formation de la relève à notre profession.
M. Michel Allard, professeur au Département de géographie récipiendaire la Médaille polaire décernée par le Gouverneur général du Canada, le 8 juillet 2015, à Whitehorse
M. Michel Allard, professeur au Département de géographie et chercheur au Centre d'études nordiques, est l'un des récipiendaires de la Médaille polaire décernée par le Gouverneur général du Canada. Remise pour la première fois cette année, cette distinction récompense les personnes qui ont accru de façon marquante la compréhension des communautés nordiques du Canada et de leurs habitants ou qui se sont employées à en faire la promotion. Depuis 1975, M. Michel Allard étudie les répercussions de la fonte du pergélisol sur l'environnement naturel et sur les infrastructures nordiques, au Nunavik et au Nunavut. Ses travaux ont aussi porté sur la vulnérabilité des communautés inuites du Nunavut au réchauffement climatique et sur l'élaboration de stratégies d'adaptation.
Encore une fois, félicitations à tous!
La direction de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique.
Éric Bauce nommé ingénieur forestier de l'année
02 octobre 2015
Le titre d’« Ingénieur forestier de l’année » est décerné à un membre pour souligner sa contribution exceptionnelle au développement et à la promotion de la profession d’ingénieur forestier. Le ou la récipiendaire a accompli un acte méritoire remarquable dans les sphères d’activités de la profession au cours des 24 derniers mois.
Cette année, l’Ordre a choisi de décerner le titre d’« Ingénieur forestier de l’année » à monsieur Éric Bauce, ing.f., Ph.D.
En novembre dernier, un groupe de chercheurs, incluant M. Bauce, a publié une découverte majeure pour la protection des forêts, soit la découverte d’un gène de résistance à la tordeuse des bourgeons de l’épinette dans le génome de l’épinette blanche. Cette découverte signifie qu’on pourrait créer des peuplements d’épinettes blanches présentant une moins grande vulnérabilité à la tordeuse.
En mars dernier, M Bauce a reçu un doctorat honorifique en sciences et technologie de l’Université de Bordeaux afin de souligner sa contribution exceptionnelle à l’entomologie et son implication dans les campus durables. Le laboratoire d’entomologie de l’Université Laval dirigé par M. Bauce est le plus important centre de recherche sur l’alimentation des insectes en Amérique du Nord. M. Bauce a également un dossier de publications fort imposant : il est auteur ou coauteur de plus de 300 articles, dont près de 150 dans des journaux scientifiques avec comité de lecture.
Malgré son emploi du temps très chargé en tant que vice-recteur exécutif et au développement de l’Université Laval, M. Bauce a maintenu ses activités d’enseignement et de recherche. Il continue donc de contribuer à la formation de la relève à notre profession.
C’est donc avec grand plaisir que l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec remet à M. Bauce la «Distinction d’ingénieur forestier de l’année» 2015.
Source et crédit photo: OIFQ
Les constructions en bois
02 octobre 2015
D'ailleurs, plusieurs centres de recherche du campus s'intéressent à la présence du bois dans la construction, notamment le Centre de recherche sur les matériaux renouvelables (CRMR) et la Chaire industrielle de recherche du CRSNG sur la construction écoresponsable en bois (CIRCERB). Les pavillons Gene-H.-Kruger, le stade TELUS-Université Laval et le PEPS – que ce soit pour leurs charpentes, leurs murs ou leurs plafonds – ainsi que le pont arqué d'une longueur de 44 mètres que l'on peut voir à la forêt Montmorency sont des exemples concrets de construction en bois.
Visite virtuelle sur la sylviculture du thuya
30 septembre 2015
Communément appelé « cèdre », au Québec, le thuya occidental (Thuja occidentalis L.) est une essence importante dans le sud-est du Canada et le nord-est des États-Unis. En dépit de son importance pour la biodiversité et de l’utilisation qui en est faite dans un grand nombre de produits, les préoccupations pour sa sylviculture sont relativement récentes dans l’est du Canada.
À l’initiative de l’industrie Maibec et devant cette réalité, un groupe de chercheurs universitaires et gouvernementaux du Canada et des États-Unis se sont lancés dans des recherches collaboratives qui se sont étalées sur plus d’une décennie et qui ont abouti à la rédaction d’un guide sylvicole, à six ateliers sur la sylviculture du cèdre et à la conception d’une visite virtuelle. La réalisation de cette dernière a été rendue possible grâce à Partenariat Innovation Forêt et au Centre canadien sur la fibre de bois. Deux membres du CEF (Jean-Claude Ruel et Catherine Larouche) ont participé au projet.
Cet outil dynamique et bilingue présente plusieurs notions contenues dans le Guide sur la sylviculture du thuya occidental et a été réalisé à la suite des ateliers qui ont eu lieu sur le terrain au cours des deux dernières années.
Pour en voir plus : visitesvirtuelles.partenariat.qc.ca/cedre/
Une nouvelle réserve naturelle pour l'Université Laval
24 septembre 2015
Située à Saint-Augustin-de-Desmaures, la réserve naturelle de la Station-Agronomique-de-l’Université-Laval protège près de 14 hectares sur la rive du fleuve Saint-Laurent, dont un écosystème forestier exceptionnel. Permettant la préservation de ce lieu d’étude et d’expérimentation unique pour des étudiants de nombreux programmes d’études et domaines de recherche dont ceux en foresterie et en environnement de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, cette reconnaissance est le résultat d’une démarche amorcée par l’Université.
crédit photo: Martine Lapointe
300 jeunes s'initient aux métiers de la forêt
22 septembre 2015
L'activité Viens vivre la forêt, tenue le 16 septembre a permis de familiariser 300 élèves du secondaire et de l'éducation des adultes aux métiers offerts par cette industrie. L'activité avait lieu à la forêt d’enseignement et de recherche du Centre de formation professionnelle en foresterie de l’Est-du-Québec (CFOR) près de Sainte-Marguerite-Marie en Gaspésie. La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique était présente à cette activité et a offert un atelier portant sur les métiers d'ingénieur forestier et d'ingénieur du bois. Près de 75 élèves ont pu découvrir spécifiquement ces deux métiers universitaires.
Semaine du transport actif à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique
15 septembre 2015
Le 22, 23 et 24 septembre, le Comité développement durable de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique invite tous ceux et celles qui viendront au pavillon Abitibi-Price avec un transport actif (marche ou vélo) ou collectif (bus ou covoiturage) à venir déguster une collation matinale, de 7 h 30 à 9 h 30, au kiosque prévu à cet effet à la cafétéria du pavillon.
En vous rendant au pavillon Abitibi-Price en utilisant un transport actif ou collectif, vous pourrez participer au tirage au sort des prix offerts dans une boutique de vélo (Vélos Roy-O, Hype Ski Vélo).
Les transports actifs et collectifs sont bénéfiques pour votre santé, votre portefeuille et pour l’environnement!
On vous attend en grand nombre! Dépêchez-vous : premiers arrivés, premiers servis!
** Pensez à apporter votre tasse ! **
Page Facebook de l'événement des transports actifs et collectifs de la FFGG
Le comité DD de la FFGG
La nouvelle borne libre-service de réparation de vélo
15 septembre 2015
Le Comité de développement durable de la Faculté de foresterie, de géomatique et de géographie a fait l’acquisition de la toute première borne libre-service de réparation de vélo sur le campus. La borne est située à l’arrière du pavillon Abitibi-Price et est accessible en tout temps. Munie d’une pompe, elle est munie de la plupart des outils nécessaires aux ajustements de base sur un vélo.
Pour en savoir plus sur le développement durable à l'Université Laval.
Des champignons au menu
10 septembre 2015
Tous les dimanches jusqu’au 4 octobre, de 8 h à 13 h 30, à la forêt Montmorency. Réservation obligatoire au 418 656-2034.
Balafrées par la tordeuse
10 septembre 2015
Des chercheurs démontrent comment la tordeuse des bourgeons de l'épinette provoque indirectement de spectaculaires glissements dans les montagnes du Québec. Les montagnes qui bordent la vallée de la rivière Jacques-Cartier portent d'étranges cicatrices, comme si un géant armé d'un gigantesque couteau s'était amusé à les taillader. Pourtant, l'un des responsables de ces balafres qui déchirent le couvert forestier pourrait être, au contraire, de taille bien modeste, suggèrent les travaux des professeurs Martin Simard et Patrick Lajeunesse, du Département de géographie et du Centre d'études nordiques. En effet, leur suspect, qui avait échappé aux soupçons jusqu'à présent, est la tordeuse des bourgeons de l'épinette.
Lire l'article complet paru dans le Fil, journal de la communauté universitaire
Crédit photo: Sébastien Baillargeon
Photographier la forêt boréale
03 septembre 2015
L'activité comprend un atelier théorique sur la photo naturaliste, une sortie accompagnée en forêt (à pied et en 4X4) où vous pourrez prendre des photos de petits spécimens et de paysages sauvages ainsi qu'un visionnement commenté des photos prises au cours de la journée.
Dimanche 6 septembre, de 9h à 14h30, à la forêt Montmorency.
Un projet qui fait mouche
03 septembre 2015
Un organisme à but non lucratif, Les eaux curatives par la pêche à la mouche, a pour but d'aider des militaires ou d'anciens militaires ayant participé à des missions à l'étranger. Dans un premier temps, on leur enseigne le montage de mouches, un art qui requiert patience et concentration. Les participants bénéficient ensuite d'ateliers où ils apprennent des stratégies de pêche et les différentes techniques du lancer. Le séjour à la forêt Montmorency, qui leur permet de mettre en pratique leurs nouvelles compétences, marque l'aboutissement du processus. L'objectif derrière cette activité: les aider à reprendre leur vie en main dans une ambiance relaxante.
Il est connu que la pêche est un calmant naturel, en plus d'être une excellente occasion de renouer avec les autres. «Ça nous oblige à sortir de notre sous-sol. Beaucoup de militaires souffrant de stress post-traumatique sont portés à s'isoler. Ils sont moins patients et plus irritables. En venant ici, on rencontre des gens qui sont "dans le même bateau". On n'a pas peur d'être jugé», explique Pascal Mayran, avant de fendre l'air avec sa canne à moucher.
La Rentrée UL, l'événement où vous pourrez tout voir, tout avoir et tout savoir!
27 août 2015
Tout voir, tout avoir et tout savoir sur la vie universitaire! Retrouvez une multitude de services aux étudiants et d'associations étudiantes dans l'Atrium Jean-Guy-Paquet du pavillon Alphonse-Desjardins.
31 août et 1er septembre 2015 - De 8h à 17h
Visitez près d’une soixantaine de stands, procurez-vous votre agenda étudiant et profitez de l’occasion pour vous informer à propos des activités parascolaires.
9 septembre 2015 - À partir de 17h30
Assistez au Show de la Rentrée organisé par la CADEUL. Cet événement offre des scènes de styles variés dans les pavillons Alphonse-Desjardins et Maurice-Pollack. L'entrée est gratuite.
Une chaire sur la construction écoresponsable en bois
27 août 2015
La Chaire a débuté ses activités il y a deux ans. Son financement, sur cinq ans, s'élève à 5 M$. Vingt-quatre projets de recherche sont en marche. Huit autres démarreront à l'automne. En tout, 55 projets devraient être réalisés.
Des professeurs provenant de trois facultés contribuent aux activités de la Chaire. S'ajoutent une trentaine d'étudiants au premier cycle et une cinquantaine d'étudiants aux cycles supérieurs. Le professeur Pierre Blanchet, du Département des sciences du bois et de la forêt, dirige la Chaire.
40 participants au Camp forêt des profs
27 août 2015
Ce camp est un projet d'éducation forestière de l'Association forestière des deux rives, organisé avec des partenaires, dont la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique. Le séjour d'«école en forêt» comprenait des ateliers pratiques, des visites d'usines et des visites en milieu forestier.
Soulignons la contribution de Véronique Audet, responsable de promotion et d'information sur les études, qui a notamment siégé au comité organisateur. Deux professeurs ont chacun animé un atelier, en plus de donner une conférence. Louis Bernier a fait un exposé sur les champignons forestiers, alors que Luc Bouthillier a offert une conférence sur l'économie et la certification forestières. À ce jour, le Camp forêt des profs a attiré plus de 200 enseignants.
Hommage à la nature - Concerts fauniques à la Forêt Montmorency
06 août 2015
Visionnez le maginique reportage de la Fabrique Culture de Télé-Québec sur les concerts fauniques de la Forêt Montmorency. Se retrouver en pleine nature, à la brunante. Se laisser bercer par les sons de musiciens bien installés dans des canots et éclairés par la lueur des étoiles, de la lune de quelques chandelles. Les concerts fauniques de la Forêt Montmorency transportent les spectateurs dans un univers hors du commun. Ils sont présentés les samedis soirs jusqu’à la fin du mois d’août. Hommage à la vie et aux sons de la forêt boréale.
Voir le reportage complet sur les concerts fauniques.
Pour réserver votre place à un concert faunique: http://www.foretmontmorency.ca/fr/activites/activites-estivales/concerts-fauniques/
Jeunes leaders recherchés pour participer au 3e Forum franco-québécois bois & forêt à Paris en novembre.
23 juillet 2015
Les Offices jeunesse internationaux du Québec (LOJIQ) et la section française de l’Office franco-québécois pour la jeunesse (OFQJ) cherchent à favoriser une participation franco-québécoise au volet jeunesse de la 3e édition du Forum franco-québécois bois & forêt qui se déroulera à Paris du 2 au 5 novembre 2015. Cet événement, considéré comme un rendez-vous unique de l'ensemble des acteurs de la filière bois & forêt dans un contexte de lutte contre les changements climatiques, est organisé par la Fédération nationale des Communes forestières de France (FNCOFOR), en collaboration avec le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs(MFFP) du Québec et leurs partenaires respectifs. Il favorise l’échange d’expertise et le développement de partenariats scientifiques, techniques et économiques et aura cette année pour thème : Construire une politique de coopération franco-québécoise de la filière forêt-bois et contribuer ensemble à la lutte contre les changements climatiques.
Dans la perspective de la prochaine conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (ci-après, CdP-21 – COP 21 ), prévue à Paris en décembre 2015, cette 3e édition est enrichie d’un volet sur les vertus de la filière dans la lutte contre les changements climatiques et sur ses perspectives de développement au sein de la francophonie. Notons par ailleurs que le Forum a été placé sous le haut patronage du président de la République française, M. François Hollande, et qu’il est labellisé comme étant un événement officiel en marge de la CdP - COP 21.
Le volet Jeunes leaders francophones du Forum vise la participation de jeunes leaders de la France et du Québec actifs dans la filière bois-forêt-écoconstruction.
Au-delà des conférences et des ateliers présentés, les participants auront l’occasion de faire connaître leur expertise et de prendre part à de nombreuses activités de réseautage dans une ambiance propice aux échanges. Les ateliers et conférences auxquels assisteront les participants seront donnés par des experts de la France, du Québec et d’ailleurs en francophonie.
Enfin, les jeunes leaders francophones seront appelés à contribuer à l’élaboration de quinze recommandations liées aux solutions climat que peuvent représenter la filière bois-forêt-écoconstruction.
Possibilité d'obtenir une bourse de 1 000 $ destinée à prendre en charge le transport international et une partie des frais de séjour sur place.
Date limite pour déposer votre candidature: 4 septembre 2015
Tous les détails sur la programmation du séjour et les modalités pour déposer votre candidature.
Échange d'expertise entre des étudiants en géographie et en environnement de l'Université Laval et la MRC de la Côte-de-Beaupré
22 juillet 2015
Les étudiants de l'Université Laval sont nombreux à utiliser le territoire de la MRC de la Côte-de-Beaupré comme territoire de recherche. Certains, comme Gabrielle Rivard, y trouvent même un emploi dans leur domaine.
Gabrielle Rivard a étudié à l'Université Laval dans un baccalauréat en géographie. Voulant se spécialiser, elle a décidé d'entrer à la maîtrise en sciences forestières. Son territoire de recherche est devenu le TNO Sault-au-cochon dont la gestion se fait par la MRC. «Je voulais me trouver un emplacement avec un intérêt régional», explique-t-elle. Elle s'intéresse aux enjeux locaux et sociaux des habitants qui vivent à proximité de ce territoire.
La jeune femme s'est fait offrir un poste d'aménagiste au service d'aménagement du territoire et de développement durable au sein de la MRC qui était au courant du mémoire qu'elle était en train de réaliser. «Pour moi, c'est une chance inimaginable, parce que je réussis à me trouver un emploi dans mon domaine», confère-t-elle. Elle est notamment responsable du Projet de mise en valeur intégré (PMVI) sur le TNO Sault-au-cochon.
Cours de terrain en environnement à Boischatel
Un cours du département des sciences du bois et de la forêt se donne sur le territoire de la municipalité de Boischatel. Intitulé Projet de conservation de l'environnement, ce cours de fin d'études au baccalauréat en environnements naturels et aménagés est dirigé par Louis Bélanger, professeur et citoyen de Boischatel. Ce cours permet aux étudiants d'offrir des services-conseils à la municipalité. «On reçoit une panoplie de projets qui nous permettent de faire des découvertes sur notre territoire», explique le directeur de l'aménagement du territoire et de l'urbanisme de Boischatel, Pierre-Alexandre Côté. Le cours en est à sa quatrième année d'existence.
La municipalité de Boischatel gagne à poursuivre cette collaboration, affirme Pierre-Alexandre Côté. «Ça nous permet de nous questionner sur différentes décisions que nous avons prises et d'avoir un regard nouveau sur certains enjeux», croit-il. Les découvertes de milieu humide dans le bassin versant de la rivière Ferrée ainsi que d'une forêt ancienne dans le secteur des Trois-Saults viennent entre autres des travaux des étudiants de l'Université Laval.
Discussion en cours pour une entente de collaboration avec l'Université Laval
Une entente-cadre pour une collaboration plus assidue entre l'Université Laval et la MRC de la Côte-de-Beaupré est en train d'être traitée par l'université. Elle permettrait à la MRC de bénéficier des services d'étudiants dans de nombreux champs d'études différents. Ces étudiants pourraient de leur côté gagner une plus grande expertise dans leur domaine avec des travaux pratiques. «Nous jugeons que c'est une entente où les deux partis sont gagnants, croit Gabrielle Rivard. Des discussions sont en cours depuis un certain temps et nous attendons pour l'instant un retour de l'université.» La jeune femme se dit confiante que cette entente va aller de l'avant.
Chaire industrielle de recherche du CRSNG sur la construction écoresponsable en bois
09 juillet 2015
Une nouvelle chaire vient de s’ajouter à une impressionnante liste d’unités de recherche regroupées dans le Programme pour l’avancement de l’innovation, de la recherche et de l’enseignement de l’Université Laval. Le jeudi 9 juillet au pavillon Gene-H.-Kruger, le recteur Denis Brière a annoncé le lancement officiel de la Chaire industrielle de recherche du CRSNG sur la construction écoresponsable en bois. Celle-ci se veut une plateforme universitaire multidisciplinaire et intégrée, jumelée à un consortium d’industriels. Son mandat consiste à développer des solutions écoresponsables en bois, et ce, dans le but de minimiser les émissions de carbone dans la construction commerciale et résidentielle multi-étagée. Les axes de recherche portent sur les façons de concevoir, les façons de construire et les façons de faire fonctionner les bâtiments.
«Cette chaire industrielle de recherche repose sur la créativité de nos chercheurs, a déclaré le recteur Brière. Leurs solutions novatrices répondent aux attentes de l’industrie de la construction tout en réaffirmant l’engagement de l’Université Laval en matière de développement écoresponsable.»
La Chaire est placée sous la responsabilité du professeur Pierre Blanchet, du Département des sciences du bois et de la forêt. Selon lui, des études scientifiques ont démontré qu’une meilleure utilisation du matériau bois dans la construction de bâtiments pourrait contribuer à réduire de façon significative les gaz à effet de serre (GES). Produits surtout par l’activité humaine, les GES sont la principale cause du dérèglement du climat. «Au Canada, affirme-t-il, le bâtiment constitue un secteur clé dans la lutte contre les changements climatiques puisque près de 40 % de tous les GES produits proviennent du secteur de la construction.» Celui-ci souligne la capacité du bois à absorber les GES. «L’utilisation d’un mètre cube de bois en substitution à l’acier ou au béton prévient le dégagement d’une tonne de CO2 dans l’atmosphère.»
Voir l’article complet (Le Fil, Volume 50, numéro 31, juillet 2015)
Mycologie, concerts fauniques et orignaux à la Forêt Montmorency!
02 juillet 2015
La Forêt Montmorency, plus grande forêt d’enseignement et de recherche au monde, vous propose une activité de mycologie, un concert faunique sous les étoiles et des sorties d'observation de l'orignal.
De la forêt à l'assiette/champignons
Cet automne, la Forêt Montmorency, plus grande forêt d’enseignement et de recherche au monde, vous propose une activité de mycologie alliant le plein air et l’apprentissage! En compagnie de notre guide passionné, participez à une sortie guidée au cœur de la forêt boréale et récoltez une ou des espèces de champignons, dont la chanterelle en tubes (craterelle). Au retour, procédez au nettoyage et apprenez comment apprêter votre produit lors d’un court atelier culinaire. Enfin, relaxez en bonne compagnie lors du petit goûter qui vous sera servi, incluant des mets avec produits de la forêt boréale.
Places limitées, réservez tôt!
Les dimanches 6, 13, 20, 27 septembre et 4 octobre
8 h à 13 h 30 environ
Capacité d’accueil : 20 personnes (âge minimum 8 ans)
60 $ + tx (55$ + tx membre UL)
Fiche descriptive DE LA FORÊT À L'ASSIETTE - CHAMPIGNONS
Les concerts fauniques
Les fameux Concerts fauniques de la Forêt sont de retour cet été! Uniques en Amérique du Nord, ces concerts inédits en l’honneur de la faune boréale sont présentés les samedis soirs du 25 juillet au 29 août. Réservez dès maintenant vos places! Les concerts fauniques, une expérience unique où la musique et les silences créent des ponts entre l'auditoire et la nature sauvage.
Fiche descriptive : Concerts fauniques
Observation de l'orignal
L'automne semble loin, mais vous pouvez déjà réserver vos places pour les sorties d'observation de l'orignal! Offertes en 2 formules en septembre et octobre, les sorties se font en compagnie de Pierre Vaillancourt, guide naturaliste d'expérience. Avec lui, découvrez le roi des forêts à l'aube ou au crépuscule d'une journée d'automne. En plein cœur de sa période de rut, apprenez à reconnaître les signes de sa présence, traces, grattages, marquages et souilles. Vivez l'appel «Call» de ce mastodonte énigmatique. La biologie, l'habitat et le comportement du plus gros cervidé au monde n'auront plus de secrets pour vous!
Safaris disponibles les vendredis, samedis et dimanches du 18 septembre au 1er novembre 2015.
Fiches descriptives : Observation de l'orignal
INFORMATION SUR LES ACTIVITÉS ET INSCRIPTION : 418-656-2034
Trois étudiantes et un membre du personnel de la Faculté honorés au Gala national Chapeau les filles volet Excelle science
22 juin 2015
Chloé Rosa-Teijeiro, étudiante en opérations forestières, Marie-Christine Brochu, étudiante en sciences géomatiques, Véronique Patoine, étudiante en génie géomatique ainsi que Louis-Étienne Guimond, responsable des travaux pratiques au Département des sciences géomatiques ont été honorés dans le cadre du Gala national Chapeau les filles/Excelle science qui s’est tenu à l’Assemblée Nationale.
Le concours Excelle Science souligne la volonté et le travail des femmes inscrites au baccalauréat dans un programme de sciences et technologies menant à l'exercice d'un métier traditionnellement masculin.
Chloé Rosa-Teijeiro, étudiante au baccalauréat coopératif en opérations forestièresLauréate d'un prix Excelle Science de 2000$ du ministère de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Chloé a toujours eu un intérêt marqué pour la gestion et les défis qu’elle apporte. Cette future ingénieure forestière n’est pas tombée loin de l’arbre : haute comme trois pommes, elle suivait en forêt son père, technologue forestier. D’abord inscrite en psychologie à l’université, Chloé constata qu'elle n’était pas dans la bonne voie. Elle passa en revue les baccalauréats et rapidement elle tomba sur celui en opérations forestières. Description détaillée du programme, liste des cours, possibilités de carrières, tout l’emballait. Les opérations forestières englobent plusieurs aspects dont la planification, l’organisation, la direction et le contrôle tant des ressources financières qu’humaines. Lutte aux feux de forêt? Recherche en opérations forestières? Elle ignore encore sa future branche. |
Véronique Patoine, étudiante au baccalauréat en génie géomatiqueLauréate d'un prix Excelle Science de 5000$ du ministère de l’Économie, de l’Innovation et des Exportations, Véronique Patoine a exploré divers chemins avant de cliquer pour la géomatique. Un bac en physique d’abord, interrompu faute d’enthousiasme. Les plaisirs gastronomiques ensuite, avec un DEP en pâtisserie et l’acquisition d’un casse-croûte. Les exploits physiques aussi : du volleyball de compétition au triathlon en passant par la traversée du Canada à vélo. Mais seule la géomatique a réussi à combler son appétit de défis. « C’est une science méconnue, au service de l’humain dans une multitude de secteurs : environnement, épidémiologie, urbanisme... », dit Véronique, qui envisage de démarrer son entreprise. |
Marie-Christine Brochu, étudiante au baccalauréat en sciences géomatiquesLauréate d'un prix Excelle Science de 2000$ du ministère de l’Économie, de l’Innovation et des Exportations, Marie-Christine a sillonné le fleuve Saint-Laurent, gravi les montagnes de la Gaspésie et conquerra bientôt les territoires rocheux de l’Abitibi. Fille de plein air et de grands espaces, elle trace son chemin d’arpenteuse-géomètre sans s’imposer de limites. « J’ai envie d’être une actrice de l’organisation du territoire et de toujours viser le mieux-être collectif », dit cette jeune femme polyvalente, mordue de maths et de physique. Son plan : s’attaquer à des travaux d’envergure – de l’implantation de complexes domiciliaires ou de parcs éoliens à l’auscultation de ponts ou de barrages hydroélectriques. |
Louis-Étienne Guimond, responsable des travaux pratiques au Département des sciences géomatiquesLauréat du prix du Mentorat, Louis-Étienne a reçu cet honneur en raison de son aide apportée à Véronique Patoine, étudiante en génie géomatique dans la présentation de son dossier de candidature. |
Étudiante-chercheure étoile
12 juin 2015
Cet honneur souligne la qualité d'un article qu'elle a publié dans The Plant Journal et qui porte sur le rôle du gène de la bêta-glucosidase dans la résistance naturelle de l'épinette blanche contre la tordeuse des bourgeons de l'épinette.
Concerts en pleine nature
12 juin 2015
Les artistes, installés sur des canots sur le lac Bédard, site offrant une acoustique exceptionnelle, offrent des morceaux mettant à l'honneur loups, orignaux, plongeons huards, bruants et grives des bois.
Les samedis 25 juillet, 1er, 8, 15, 22 et 29 août, de 20h à 22h45, à la forêt Montmorency. L'activité comprend l'accueil à l'auditorium, le transport en autobus jusqu'au lac Bédard, le concert et une rencontre avec les musiciens lors du retour au pavillon. Un transport en navette est aussi disponible à partir de l'Université.
La forêt Montmorency souligne ses 50 ans avec une exposition sur le peintre René Richard
12 juin 2015
Connu pour son amour des grands espaces, René Richard (1895-1982) vouait une passion manifeste pour la forêt Montmorency, qu'il a foulée plusieurs fois. Avec son décor enchanteur, cette forêt expérimentale, qui appartient à l'Université depuis 1964, lui offrait un cadre de travail idéal. Inspiré, il a réalisé là-bas un nombre incalculable de peintures, de dessins et de croquis. «René Richard était un homme qui aimait le côté sauvage de la nature. Non seulement il l'a prouvé par son oeuvre, mais il a passé sa vie à le dire. Ce qui lui plaisait de la forêt Montmorency, c'était qu'elle lui permettait de peindre en toute liberté», raconte Jean des Gagnés, professeur retraité en histoire de l'art qui signe les textes de l'exposition. Depuis le 10 juin, les visiteurs peuvent découvrir la vie de l'artiste grâce à un parcours déambulatoire dans le pavillon central de la forêt Montmorency.
René Richard a fait l'objet de moult écrits, où se mêlent parfois la réalité et la fiction – il a notamment inspiré le personnage du roman La montagne secrète de Gabrielle Roy. Fils d'immigrants suisses venus s'installer en Alberta, il a d'abord été trappeur, parcourant le Manitoba, la Saskatchewan et les Territoires du Nord-Ouest. En 1927, il a décidé d'aller étudier la peinture à Paris sous l'égide de l'artiste québécois Clarence Gagnon. Ce dernier, grand amoureux de Charlevoix, l'a convaincu de s'établir à Baie-Saint-Paul. Très près de l'univers des ingénieurs forestiers, René Richard a fait la rencontre d'Edgar Porter, doyen de la Faculté de foresterie et de géodésie et cofondateur de la forêt Montmorency. Une profonde amitié est née entre les deux hommes, ce qui explique pourquoi, vers la fin de sa vie, l'artiste a légué une partie de ses oeuvres aux collections de l'Université Laval. «Il savait qu'il était apprécié à l'Université Laval et que ses peintures et ses dessins seraient conservés de façon pieuse», souligne Jean des Gagnés.
À l'époque, John R. Porter, le neveu d'Edgar Porter et actuel président du Conseil d'administration de l'Université, était âgé d'une dizaine d'années. Il se souvient très bien avoir découvert des tableaux de l'artiste dans l'une des salles du pavillon central fraîchement construit. «L'histoire de René Richard m'interpelle doublement, dit-il. Cet artiste était un merveilleux conteur, qui savait témoigner de ses péripéties. Mon oncle Edgar, qui fut mon deuxième père, avait beaucoup d'admiration pour lui. Il trouvait dans l'oeuvre de René Richard un écho de ses valeurs, dont le respect de la forêt et des grands espaces. Edgar Porter était un homme qui avait beaucoup d'ouverture et une grande vision!»
Poste de professeur ou professeure en chimie des polymères en génie du bois
15 mai 2015
Dans le cadre de son plan de développement, le Département des sciences du bois et de la forêt est à la recherche d’une professeure ou d’un professeur sur la chimie des polymères en génie du bois, poste conditionnel à l’obtention d’une Chaire industrielle de recherche du CRSNG. Ses activités de recherche et d’enseignement seront axées sur la chimie de la finition et des adhésifs, en particulier des domaines tels que :
- La formulation de vernis, teintures et peintures;
- La synthèse de nouvelles résines;
- La chimie de la compatibilisation de matériaux (greffage, encapsulation, fonctionnalisation, etc.);
- La chimie des surfaces;
- La modification chimique des propriétés du bois;
- Les approches de densification chimico-mécanique;
- La chimie et mécanique des interfaces;
- La chimie des nanomatériaux appliquée au bois et ses dérivés.
Toute personne intéressée est priée de faire parvenir, par la poste ou par courriel, une lettre d’intérêt et un curriculum vitæ, incluant une liste de publications et le nom de trois personnes en référence, au plus tard le 15 juin 2015, à :
Jean-Claude Ruel, directeur
Département des sciences du bois et de la forêt
Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique
Université Laval
Québec (Québec) G1V 0A6
Téléphone.: (418) 656-7128
Télécopieur : (418) 656-5262
Courrier électronique : directeur@sbf.ulaval.ca
Pour consulter la description détaillée de l'offre d'emploi >>
Guylaine Bélanger, récipiendaire du prix Engagement facultaire de la FFGG
08 mai 2015
Le prix Engagement facultaire de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique a été remis à Mme Guylaine Bélanger, technicienne en administration au Département des sciences du bois et de la forêt pour le Centre de recherche sur les matériaux renouvelables (CRMR).
Cet honneur, soulignant son professionnalisme, sa rigueur, sa bonne humeur, sa générosité et sa disponibilité pour l’ensemble de la communauté facultaire ainsi que son dévouement, lui a été décerné le jeudi 7 mai dernier, lors d’un cocktail en présence des membres du personnel de la Faculté.
Le prix Engagement facultaire de la FFGG vise à reconnaître publiquement la distinction d’un membre du personnel, par son dévouement, son professionnalisme et par l’excellence de son travail auprès des étudiants et du personnel de la Faculté.
Antoine Cogulet, étudiant au doctorat en sciences du bois gagnant de la finale lavalloise au concours Ma thèse en 180 secondes
27 avril 2015
Antoine Cogulet, étudiant au doctorat en sciences du bois dans le cadre de la Chaire de recherche industrielle du CRSNG sur la construction écoresponsable en bois (CIRCERB) représentera l’Université Laval au concours Ma Thèse en 180 Secondes.
La Faculté des études supérieures et postdoctorales a tenu la finale lavalloise du concours « Ma thèse en 180 secondes » le 23 avril 2015, de 10 h à 14 h, à l’auditorium Jean-Paul-Tardif, du pavillon La Laurentienne. Le gagnant du niveau doctorat représentera l’Université Laval lors de la grande finale qui aura lieu dans le cadre du 83e Congrès de l’Acfas (Association francophone pour le savoir), le 27 mai 2015 à l’Université du Québec à Rimouski.
Samuel Gagnon, étudiant à la maîtrise en sciences géographique, a remporté le prix du public.
Geneviève Parent, stagiaire postdoctorale en génomique forestière, a reçu un prix pour sa participation à l’événement.
Très populaire dans les universités à travers le monde, « Ma thèse en 180 secondes » est un concours d’éloquence qui permet aux étudiants de cycles supérieurs de démontrer leurs aptitudes de communicateur et de vulgarisateur scientifique. Des finalistes sélectionnés par leur faculté doivent faire un exposé clair, concis et convaincant sur leur projet de recherche, en un maximum de trois minutes. Pour accompagner leur exposé, ils auront seulement droit à une diapositive PowerPoint.
La Forêt Montmorency: un laboratoire de 412 km carrés
20 avril 2015
Pour célébrer son 50e anniversaire, la Forêt Montmorency voit encore sa superficie s'étendre pour devenir la plus grande forêt d'enseignement et de recherche au monde. Le doyen, M. Robert Beauregard et le directeur de la Forêt Montmorency, M. Hugues Sansregret nous présentent ce haut lieu de la connaissance forestière à l'émission Les années lumières de Radio-Canada.
Audio fil: Un labo de 412 km carrés : La forêt Montmorency a 50 ans
En complément: Le concours L'arbre de l'année
Forêt Montmorency: www.ffgg.ulaval.ca/foret-montmorency
Photo: Radio-Canada/Mathieu Arsenault
La Semaine des sciences forestières, lauréate au Gala de la relève en or
09 avril 2015
La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique remet ses Prix Enseignement 2015 et près de 400 000 $ en bourses à ses étudiants
25 mars 2015
M. Louis Bélanger, professeur au Département des sciences du bois et de la forêt, a reçu le prix Enseignement, catégorie professeur, et Mme Suzie Larrivée, responsable de travaux pratiques et de recherche au Département des sciences géomatiques, a reçu le prix Enseignement, catégorie chargé de cours et autre personnel enseignant de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique le 19 mars dernier, à l’occasion de la cérémonie annuelle de remise des bourses et des prix de la Faculté. Ce prix vise à reconnaître publiquement l’excellence du personnel enseignant de la Faculté. Le vice-recteur aux études et aux activités internationales, M. Bernard Garnier, le doyen de la Faculté, M. Robert Beauregard, et le vice-doyen à la recherche et aux études, M. Stéphane Roche, ont procédé à la remise du prix.
Cette cérémonie était aussi l’occasion de récompenser l’excellence et le dynamisme des étudiants et de remercier les nombreux partenaires de la Faculté. Les nouveaux boursiers des grands organismes subventionnaires fédéraux et provinciaux et les récipiendaires de prix et de bourses d’autres organismes ont aussi été mis en valeur. Au total, ce sont 74 étudiants qui sont repartis avec plus de 386 000 $ en bourses et prix durant la soirée.
Tout comme plusieurs partenaires donateurs, M. Daniel Bérard, président de l’Ordre des arpenteurs-géomètres du Québec, et M. Jean-Claude Mercier, président du Fonds de recherche et de développement en foresterie (FRDF), tous deux diplômés de la Faculté, étaient très fiers de « passer au suivant » et d’encourager la relève en offrant des bourses. Le doyen et plusieurs partenaires présents en ont aussi profité pour souligner le bel avenir qui attend les étudiants de la Faculté alors que les besoins sur le territoire sont croissants et que de nombreux ingénieurs forestiers et arpenteurs-géomètres, notamment, sont sur le point de prendre leur retraite.
Trois étudiants ont également reçu le prix Rayonnement de la Faculté pour leur participation remarquable à la vie étudiante, leur engagement dans leur futur milieu professionnel ou encore leur contribution significative à la promotion de leur domaine d’études auprès des jeunes ou du grand public. Les récipiendaires de chacun des trois départements de la Faculté sont : M. Simon Dufour Handfield en sciences géomatiques, M. Charles Breton en sciences du bois et de la forêt et M. Pier‑Luc Dufour en géographie.
« La Faculté est résolument tournée vers l’avenir » soulignait le doyen de la Faculté. « L’engagement de nouveaux professeurs, le renouvellement des programmes d’études, la création de chaires de recherche, l’agrandissement de la Forêt Montmorency et les liens étroits tissés avec nos multiples partenaires sont des atouts immenses dans le contexte actuel. La cérémonie est une magnifique occasion de célébrer la réussite de nos étudiants et de nos enseignants et de remercier nos donateurs. Félicitations et merci à tous » de conclure le doyen.
Le métier d'ingénieur du bois dans le Palmarès des carrières 2015
26 février 2015
Marie Christine Ouellet, étudiante au baccalauréat coopératif en génie du bois, s’est laissée prendre au jeu de la transformation du bois et de ses multiples possibilités. Après un DEC en Sciences de la nature, concentration biochimie, et deux années en génie civil, la jeune femme originaire de Trois-Pistoles découvre le baccalauréat coopératif en génie du bois, une formation relativement récente qui se donne exclusivement à l’Université Laval.
Forêt Montmorency - 50 ans d'histoire et de succès
05 février 2015
Plus grande forêt d'enseignement et de recherche universitaire au monde, la forêt Montmorency est, depuis 50 ans, un immense terrain de jeu pour les chercheurs, les étudiants et les amoureux du grand air.
Été comme hiver, la forêt Montmorency offre des paysages à couper le souffle. Ce décor enchanteur, qui est situé à 70 kilomètres au nord de Québec, Julie Bouliane le connaît bien, pour y avoir passé la majeure partie de son enfance. Quand elle n'était pas à l'école, elle accompagnait son père, Paul, dans la sapinière à bouleaux blancs qui couvre une grande partie du territoire. Ingénieur forestier pendant 35 ans, celui-ci lui a transmis sa passion pour le métier. C'est pourquoi, lorsqu'il a pris sa retraite en 2006, elle n'a pas hésité à reprendre le flambeau. «Mon père avait la forêt Montmorency tatouée sur le coeur. C'était naturel pour moi de prendre sa relève. Mais je tiens à préciser que j'ai réussi tous les concours officiels!», raconte-t-elle en riant.
Pour voir l'article complet paru dans le Fil
Matthieu Dessureault, LeFil, volume 50, numéro 19
Des chercheurs découvrent comment prédire 20 ans à l’avance quels seront les meilleurs arbres destinés au reboisement
04 février 2015
Une équipe de recherche en foresterie a mis au point des tests qui permettent de prédire, à partir de l'analyse du génome d'épinettes blanches âgées de quelques semaines, quelles seront les caractéristiques de ces arbres 20 ans plus tard. Cette avancée permettra de diminuer de façon dramatique le temps requis pour sélectionner les lignées d’arbres optimales destinées au reboisement. Les détails de cette découverte réalisée par des chercheurs de l’Université Laval, du Centre canadien sur la fibre de bois et du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs du Québec sont publiés dans un récent numéro de la revue BMC Genomics.
Un étudiant en génie du bois parmi les gagnants du Défi Cecobois 2015
03 février 2015
Cecobois a dévoilé les gagnants de la 6e édition du Défi cecobois, un concours étudiant organisé à l’occasion du Salon de la forêt 2015. Cette année, le défi consistait à construire un modèle réduit, à l’échelle 1 : 10, d’une passerelle pour piétons et vélos. La conception de la structure en bois devait faire preuve d’un design novateur et optimisé structuralement. Benoit Gengron, étudiant en génie du bois faisait partie de l'équipe ayant remporté le 2e prix.
Pour voir tous les détails des gagnants du Défi Cecobois 2015.
Article paru dans le Québec Hebdo sur les gagnants de Défi Cecobois 2015.
Votez pour la découverte de l’année menée par des chercheurs et étudiants de notre Faculté !
02 février 2015
Une recherche menée par une équipe de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique composée d’Éric Bauce, John MacKay et de leurs étudiants figure parmi les 10 découvertes de l'année 2014 de Québec Science. Elle concerne la découverte d'un gène de résistance à la tordeuse des bourgeons de l'épinette intitulée « L’épinette contre-attaque » par l’équipe de Québec-science.
Le public est invité à voter pour sa découverte coup de coeur parmi les 10 percées de 2014.
Pour voter pour la découverte en lien avec la Faculté, il suffit de se rendre, d'ici le 19 février, à l'adresse http://quebecscience.qc.ca/10-decouvertes-2014/3-epinette-contre-attaque
Participez en grand nombre et encourager nos chercheurs et étudiants !
Le génie du bois dans le Palmarès des carrières 2015
30 janvier 2015
"Les postes à pourvoir dans les prochaines années seront nombreux dans plusieurs domaines au Québec. C'est pourquoi un nouvel outil pour mieux repérer les carrières adaptées à sa personnalité a été ajouté à la 11e édition du Palmarès des carrières, qui sort demain en librairie. [...]
À l'Université Laval, le baccalauréat en génie du bois forme des spécialistes des propriétés du bois essentiels pour concevoir différents produits. Les usines de pâtes et papiers ont connu des années difficiles, mais d'autres secteurs de l'industrie forestière sont en essor, comme la construction de bâtiments en bois. Le programme unique au Canada comprend trois stages obligatoires rémunérés entre 5000 et 10 000$ chacun. En terminant leurs études, les finissants gagnent en moyenne 61 000$ par année, soit le plus haut salaire chez les ingénieurs sortants au Québec."
Voir l'article complet Palmarès des carrières 2015: un outil pour mieux s'orienter publié dans La Presse, le 21 janvier 2015 par Martine Letarte.
Génomique forestière: important partenariat entre l'Université Laval et l'Université d'Oxford
16 janvier 2015
Dans le cadre d'une mission économique en Europe, le premier ministre Philippe Couillard vient d'annoncer à Londres un partenariat scientifique et académique entre l'Université Laval et l'Université d'Oxford. L’objectif de l’entente consiste à créer un consortium international en génomique forestière. Dirigé par le professeur John MacKay, grand expert reconnu mondialement qui œuvre au sein de l’Université Laval, à titre de professeur titulaire, et à l’Université d’Oxford, où il est Wood Professor of Forest Science, les travaux du consortium viseront les grands enjeux scientifiques reliés à la productivité et à la durabilité des forêts, qu’elles soient naturelles ou aménagées. Les retombées attendues sont la santé des forêts, la création de valeur et l’aménagement durable. Pour le Québec et le Canada, il s’agit d’un partenariat majeur sans précédent.
Les recherches de deux professeurs-chercheurs du Département parmi les 10 découvertes de l'année!
15 janvier 2015
Deux recherches menées par des équipes de l'Université figurent parmi les 10 découvertes de l'année 2014 de Québec Science. L'une d'entre elles concerne la découverte d'un gène de résistance à la tordeuse des bourgeons de l'épinette par une équipe de chercheurs composée entre autres d'Éric Bauce et de John MacKay et de leurs étudiants.
Le public est invité à voter pour sa découverte coup de coeur parmi les 10 percées de 2014. Pour ce faire, il suffit de se rendre, d'ici le 19 février, à l'adresse quebecscience.qc.ca/Les-10-decouvertes-de-l-annee.
Simon Thibault Bellavance raconte son expérience de stage en génie du bois
15 janvier 2015
Simon Thibault Bellavance, étudiant de quatrième année en génie du bois à l'Université Laval parle de ses deux stages chez Chantiers Chibougamau dans un article paru dans La Presse.
Pour voir l'article complet Formation des ingénieurs: trois stagiaires, trois aventures.
La semaine des sciences forestières, une activité étudiante d'envergure
15 janvier 2015
Le Salon de la forêt, un événement familial gratuit, constitue le moment phare de la semaine. À sa 35e année d'existence, il se tiendra les 30, 31 janvier et 1er février au pavillon Alphonse-Desjardins. L'activité aura pour thème «Au bouleau, il y a du pin sur la planche!». L'an dernier, le Salon avait accueilli plus de 7 000 visiteurs de tous âges. Une cinquantaine d'exposants étaient sur place. Les activités destinées aux jeunes avaient attiré près de 400 élèves du secondaire.
La programmation 2015 comprendra des conférences sur des sujets d'actualité, des ateliers et des expositions de photos. Il y aura aussi des activités pour les plus jeunes, ainsi que des jeux forestiers. Lors d'une journée complète d'épreuves, les visiteurs pourront assister, entre autres, au lancer de la bûche et à la coupe de la bûche au godendard. Lors du Défi Cécobois, des équipes multidisciplinaires d'étudiants en génie du bois, en architecture et en génie civil concevront et construiront une structure en n'utilisant que des pièces en bois. «Notre thème est en lien avec les efforts consentis dans le domaine forestier pour améliorer les pratiques et faire en sorte que la forêt retrouve la notoriété qui lui est due», soutient Jonathan Dubé Ouellet. Celui-ci est président de la Semaine des sciences forestières et étudiant au baccalauréat en aménagement et environnement forestiers.
Un autre moment important sera le colloque Kruger, présenté le 3 février sur le thème des nouvelles technologies en foresterie. Une soirée table ronde portera sur la forêt privée au Québec.
Pour information: ssf.ffgg.ulaval.ca
Nouveautés à la Forêt Montmorency
15 janvier 2015
Depuis le 10 janvier, trois nouveaux services de navette sont offerts par la forêt Montmorency. Tout d'abord, le service SKI-BUS assure une liaison entre l'Université et la forêt tous les samedis. Une deuxième navette permet aux adeptes de ski-raquette, de télémark et de splitboard d'accéder au secteur hors-piste du mont Porter à partir de l'auberge. Finalement, une navette entre le camp Mercier et l'accueil permet aux skieurs ne désirant pas faire l'aller-retour d'être transportés jusqu'à leur point de départ.
Pour connaître l'horaire des navettes et les activités offertes, consultez le site foretmontmorency.ca/fr/